4. ÉCHANTILLONS ÉTUDIANTS

Vorige Start Omhoog Volgende

TABLEAU 4 
Occurrence estimée de quatre types d’abus sexuel sur enfant (ASE) ; USA

TABLEAU 5 
Occurrence estimée d’abus sexuel sur enfant (ASE) en fonction du statut familial de l’abuseur ; USA

TABLEAU 6 
Méta-analyse des rapports ASE-équilibre (étudiants)

TABLEAU 7 
Méta-analyse des rapports ASE-équilibre en milieu étudiant, en fonction du consentement

TABLEAU 8 
Méta-analyse des relations entre les caractères de l’ASE et leurs conséquences pour le sujet

TABLEAU 9 
Souvenir rétrospectif de la réaction immédiate d’étudiants confrontés à un ASE

TABLEAU 10 
Effets rapportés par des étudiants confrontés à une ASE

 

Les échantillons nationaux nous ont aidé à étudier les idées généralement admises sur l'ASE. Mais ces études ont l'inconvénient d'être fort peu nombreuses, elles apportent peu d'information sur les réactions des intéressés et nous donnent trop peu de renseignements pour juger l'hypothèse d'un lien de cause à effet ASE-dommages.

Nous avons donc effectué un autre méta-analyse basé sur un autre ensemble d'échantillons non cliniques : des échantillons étudiants. Nous avons choisi ces échantillons pour plusieurs raisons. D'abord parce qu'ils représentent le plus large échantillon du même type dont on puisse disposer. Bien que les gens qui sont passés par l'université soient différents de ceux qui n'y sont pas allés, nous avons estimé que des échantillons étudiants pourraient nous aider à répondre à des questions sur la population en général : quelle est la réaction type d'une personne exposée à l'ASE ? En effet, aux USA, 50% de la population adulte est passé par l'université à un moment ou à un autre.

Les échantillons étudiants présentent un autre intérêt : les études ont été menées par des chercheurs universitaires qui ont conçu leurs études en prenant en compte des facteurs liés au milieu familial. Ces renseignements, que les études cliniques ou nationales ne fournissent pas toujours, nous permettent d'étudier les effets négatifs censément produits par l'ASE. De plus, ces études nous ont fourni des données de premier ordre pour étudier les hypothèses formulées à propos de l'ASE telles que l'étendue et la profondeur des effets et l'équivalence des réactions quel que soit le sexe.

Au total, nous disposions de 59 études pour examiner les rapports ASE-équilibre, les réactions, et les effets évalués par le sujet lui-même. Pour étudier le rapport entre ASE et équilibre, nous avons utilisé 54 échantillons : 14 échantillons (3254 sujets masculins) et 40 échantillons (12570 sujets féminins). Les réactions et les effets auto-rapportés ont été étudiés sur 13 échantillons (783 sujets masculins) et 14 échantillons (2353 sujets féminins).

La définition de l'ASE était différente selon les études. Pour 20% des études, il s'agissait d'expériences indésirables. Les 80% restantes comprenaient toutes les expériences d'ASE (à la fois indésirables et désirables) et définissaient l'ASE ainsi : une différence d'âge d'au moins 5 ans entre les partenaires, le plus jeune ayant moins de 16 ou 17 ans. Le taux d’occurrence de l'ASE suivant ces différentes définitions était le suivant : pour les hommes, sur la base de 26 échantillons comprenant 13704 sujets, il était de 14%; pour les femmes, sur la base de 45 échantillons comprenant 21999 sujets, il était de 27%.

Certains chercheurs ont avancé l'idée que les échantillons étudiants n'apportaient pas d'information sur les formes les plus graves d'ASE, car les étudiants vivent des formes d'ASE moins graves que la population en général. En revenant aux échantillons nationaux dont nous avons extrait les données pertinentes, puis en examinant les échantillons étudiants et en comparant les valeurs respectives des uns et des autres, nous avons pu tester cette hypothèse.

Le tableau 4 présente les résultats obtenus. On a prétendu que l'ordre de gravité croissant était le suivant : ASE sans contact (exhibitionnisme), attouchements, rapport oral, rapport complet. Sur le tableau on voit bien que les sujets étudiants ont eu autant de rapports complets que les sujets nationaux – beaucoup plus même pour les garçons. On a souvent estimé qu'un lien familial existant entre le plus jeune et le plus âgé était un signe de gravité, l'inceste étant considéré comme le contact le plus grave. Le tableau 5 montre que les sujets étudiants ont vécu autant d'incestes que le reste de la population.

On considère aussi généralement que la fréquence des rapports qualifiés d'ASE est un signe de gravité : on estime que des rapports multiples sont plus graves que des rapports uniques. Dans les deux échantillons, nationaux et étudiants, à peu près la moitié de ceux qui ont vécu un ASE ont connu des rapports multiples. Nous tirons de ces comparaisons les conclusions suivantes : puisque les échantillons nationaux et étudiants ont pratiquement les mêmes caractéristiques, il nous paraît justifié d'utiliser des échantillons étudiants pour répondre à des questions concernant l'ASE dans l'ensemble de la population.

TABLEAU 4 

Occurrence estimée de quatre types d’abus sexuel sur enfant (ASE) ; USA

 

Echantillon

k

N

Exhibitionnisme

Caresses

Fellation

Rapport complet 1

Université

garçons

13

2172

32%

39%

3%

13%

 

filles

9

506

22%

51%

14%

33%

 

ensemble 2

26

2918

28%

42%

6%

17%

National 3

hommes

3

590

38%

67%

9%

16%

 

femmes

3

366

25%

69%

22%

13%

 

ensemble

6

956

33%

68%

14%

15%

Note : k représente le nombre d’échantillons , N le nombre de sujets dans les k échantillons.

 

TABLEAU 5

Occurrence estimée d’abus sexuel sur enfant (ASE) en fonction du statut familial de l’abuseur ; USA

 
 

Famille au sens large

Famille proche

 

Université 4

National 5

Université6

National

 

N

%

N

%

N

%

N

%

filles

2735

37

606

34

792

20

606

15

garçons

580

23

375

13

270

8

375

4

ensemble

3569

35

981

26

1275

16

981

11

Note : La famille proche inclut les parents biologiques ou les beaux-parents, les grands-parents et les frères ou sœurs plus âgés. La famille au sens large inclut la famille proche et les autres membres de la famille. Les taux d’occurrence estimés sont pondérés à partir d’échantillons individuels. Les estimations en université proviennent d’études publiées dans cette revue ; les estimations au niveau national proviennent de trois études (Baker & Duncan, 1985 ; Laumann et al, 1994 ; Lopez et al, 1995).

1.      Dans quelques études étudiantes et nationales, cette rubrique correspond tant aux actes tentés qu’accomplis.

2.      Ces données incluent deux autres études, l’une sur les garçons et l’autre sur les filles.

3.      Pour l’exhibitionnisme: données de Lopez et al. uniquement (femmes: k=1, N=203 ; hommes : k=1, N=134); pour l’onanisme: données de Laumann et al. et Lopez et al. (femmes: k=2, N=476 ; hommes: k=2, N=291).

4.      Basée sur 21, 9 et 33 cas (respectivement: filles, garçons, ensemble).

5.      Basée sur 3, 3 et 6 cas (respectivement: filles, garçons, ensemble).

6.      Basée sur 6, 10 et 19 cas (respectivement: filles, garçons, ensemble).

Nous avons ensuite étudié la relation entre l'ASE et l'équilibre général, en faisant un méta-analyse des résultats de 54 échantillons qui nous ont fourni des statistiques exploitables. Pour 15912 sujets, la variation moyenne d'équilibre provoqué par l'ASE était de 0,81% : dans 99,19% des cas l'ASE ne joue aucun rôle dans la variation d'équilibre. Cependant cette petite différence conserve une signification statistique, les sujets-ASE ayant un équilibre un peu moins bon. Nous avons ensuite fait un méta-analyse du rapport ASE-équilibre en séparant les garçons des filles. Comme le montre le tableau 6, l'ASE explique 0,49% de la variation d'équilibre chez les garçons et 1% chez les filles : exactement les mêmes valeurs que dans les échantillons nationaux. Il faut faire remarquer que les échantillons nationaux et étudiants se ressemblent sur de nombreux points : taux d'incidence de l'ASE, types d'ASE, importance de la relation ASE-équilibre. Ceci indique que les données étudiantes sont nettement plus précieuses que les données cliniques pour comprendre la nature de l'ASE au sein de la population dans son ensemble.

 

TABLEAU 6

Méta-analyse des rapports ASE-équilibre (étudiants)

 
 

k

N

variance

garçons

14

2947

0,49%

filles

33

11631

1,00%

Note : La variance (donnée en %) exprime la variation d’équilibre imputable à l’ASE.

Du fait qu'une minorité notable des études ne prenait en compte que les expériences indésirables pour définir l'ASE, nous avons aussi étudié le rapport ASE-équilibre en fonction du degré de participation de la personne la plus jeune, séparément pour les garçons et les filles. Le tableau 7 montre que, pour les garçons et en prenant les échantillons comprenant tous les types d'ASE (sexe indésirable et sexe désirable), l'ASE n'explique que 0,16% de la variation d'équilibre : ce résultat n'a pas de valeur statistique. Quand on n'examine que les échantillons où le sexe est indésirable, l'ASE intervient pour 1,69% dans la variation d'équilibre, ce qui a une valeur statistique. Cette valeur est de 10 fois supérieure à celle trouvée précédemment (pour le sexe désirable et indésirable).

TABLEAU 7

Méta-analyse des rapports ASE-équilibre en milieu étudiant, en fonction du consentement

 
 

k

N

variance

garçons

tous types de relations sexuelles1

10

1957

0,16%

 

relations non désirées uniquement

4

990

1,69%

filles

tous types de relations sexuelles1

25

9363

0,64%

 

relations non désirées uniquement

8

2268

1,21%

Note : k représente le nombre d’échantillons, N le nombre de sujets dans les k échantillons. La variance (donnée en %) exprime la variation d’équilibre imputable à l’ASE.
1. Comprend à la fois les relations sexuelles désirées et non désirées.

 

Ces résultats montrent que des garçons qui se livrent à l'ASE de leur plein gré ne souffrent pas d'un moins bon équilibre. Pour les filles en revanche, l'ASE influe sur l'équilibre général, que l'on prenne en considération le sexe désirable et indésirable ensemble ou le sexe indésirable seulement.

Dans le premier cas l'ASE explique 1,21% de la variation d'équilibre, et dans le second 0,64%. Ces découvertes nous montrent que l'effet est différent selon le sexe : quand on étudie les effets de l'ASE, il faut obligatoirement différencier les garçons consentants et les filles.

Nous voyons donc qu'au moins pour les garçons l'ASE n'a pas de conséquences inévitables mais que tout dépend du contexte dans lequel il survient. Afin d'examiner le contexte d'un peu plus près, nous avons étudié chez les sujets qui avaient vécu un ASE les facteurs qui pourraient avoir provoqué certaines réactions ou certains symptômes. Les facteurs contextuels étudiés sont la fréquence des actes d'ASE, leur durée dans le temps, l 'usage de la force, la pénétration et l'inceste. Le tableau 8 montre le résultat de nos analyses. Contrairement à ce qu'on croit généralement, la fréquence des actes, la longue durée des relations et la pénétration n'entraînent pas de réactions plus négatives ou davantage de symptômes. En revanche, l'usage de la force et les relations incestueuses ont entraîné des réactions plus négatives et davantage de symptômes.

 

TABLEAU 8

Méta-analyse des relations entre les caractères de l’ASE et leurs conséquences pour le sujet

 

Caractère de l’ASE

Conséquences

k

N

variance

Durée

Réactions et effets

4

473

(0,09%)

 

Symptômes

2

82

0,41%

Contrainte

Réactions et effets

7

694

12,25% *

 

Symptômes

4

295

1,21%

Fréquence

Réactions et effets

3

328

(0,04%)

 

Symptômes

3

174

0,64%

Inceste

Réactions et effets

4

394

1,69% *

 

Symptômes

9

572

0,81% *

Pénétration

Réactions et effets

2

253

(0,09%)

 

Symptômes

7

594

0,25%

Note : k représente le nombre d’échantillons, et N le nombre de sujets dans les k échantillons ayant eu une expérience ASE. La variance (donnée en %) exprime la variation des conséquences (réactions, effets et symptômes) induite par le caractère de l’ASE.

Les valeurs entre parenthèses indiquent que le caractère de l’ASE est corrélé à des conséquences moins négatives. * : indique un résultat statistiquement significatif.

L'image de l'ASE véhiculée par les médias est celle-ci : un enfant fragile et sans défense en état de choc absolu, dont l'existence a été dévastée par un adulte. Nous avons présenté des éléments pertinents nous permettant d'évaluer la validité de cette image. Le tableau 9 nous présente les résultats de 10 échantillons féminins et 12 échantillons masculins. Il s'agit de savoir comment, à l'époque, les sujets ont réagi à l'expérience d'ASE. Pour les filles : 11% des expériences d'ASE ont été positives, 18% neutres et 72% négatives. Pour les garçons : 37% des expériences ont été positives, 29% neutres et 33% négatives.

Les résultats pour les garçons contredisent fortement l'image populaire dont nous avons parlé : la majorité des garçons n'a pas réagi de façon négative. Pour les filles, c'est l'inverse, ce qui montre une différence de réaction frappante liée au sexe. Cela nous prouve à nouveau que l'hypothèse d'une réaction similaire pour les deux sexes est erronée.

Pour ce qui est des réactions négatives, il est important de noter que celles-ci peuvent aller d'une légère sensation de gêne jusqu'au choc traumatique. Le pourcentage de garçons et de filles qui réagiraient conformément à l'image populaire ne représente donc qu'une fraction du chiffre des réactions négatives observées.

Bien que cela soit difficile à chiffrer, il est probable qu'un choc traumatique entraîne pour le sujet des effets négatifs de nature durable. Pour traiter cette question, nous avons étudié dans les échantillons étudiants les effets perçus par les sujets eux-mêmes. Le tableau 10 présente le résultat de ces études. Les effets négatifs durables perçus par le sujet lui-même sont rares chez les garçons.

Dans l'étude de Condy, seuls 16% des sujets mâles avaient l'impression que l'expérience d'ASE avait eu une influence négative sur leur vie sexuelle. Dans l'étude de Fishman ils étaient 13%, dans celle de Fritz 10%, dans celle de Landy 0,4% et dans celle de West et Woodhouse seuls un ou deux sujets sur 67 avaient ressenti un impact négatif sur leur vie sexuelle. Pour ce qui est des autres effets durables, dans l'étude de Landis, aucun sujet mâle n'a estimé que son développement affectif avait été affecté de façon permanente. Dans l'étude de Fishman, un quart des sujets mâles ont ressenti une forme ou une autre d'effet négatif sur leur vie en général.

TABLEAU 9 

Souvenir rétrospectif de la réaction immédiate d’étudiants confrontés à un ASE

Etude

Femmes

Hommes

 

positif

neutre

négatif

N

positif

neutre

négatif

N

Brubaker (1991)

22%

18%

60%

50

-

-

-

-

Brubaker (1994)

10%

17%

73%

99

-

-

-

-

Condy et al (1987)

-

-

-

-

58%

14%

28

50

Finkelhor (1979)

7%

27%

66%

119*

nd 2

nd

38%

23

Fischer (1991)

5%

nd

nd

39

28%

nd

nd

18

Fishman (1991)

-

-

-

-

27

43

30

30*

Fromuth (1984)

28%

12%

60%

130*

-

-

-

-

Fromuth & Burkhart (1989)

-

-

-

-

60%

28%

12%

81

Goldman & Goldman (1988)

17%

16%

68%

188*

39%

32%

30%

40*

Landis (1956)

2%

16%

86%

493*

8%

39%

54%

183*

Long & Jackson (1993)

4%

28%1

69%

137

-

-

-

-

O’Neill (1991)

10%

6%

84%

83*

43%

9%

48%

46*

Schultz & Jones (1983)

28%

19%

52%

122*

69%

24%

7%

67*

Urquiza (1989)

-

-

-

-

39%

27%

33%

51

West & Woodhouse (1993)

-

-

-

-

45%

29%

26%

58

Total

11%

18%

72%

1421

37%

29%

33%

606

1. Y compris réactions mixtes.
2.  nd : non disponible.
*  Indique le nombre d’expériences ASE ; sinon, N indique le nombre de sujets.

 

Les filles se distinguent des garçons par un taux plus élevé d'effets négatifs perçus. Pour ce qui est des effets négatifs durables sur la vie sexuelle, le pourcentage est de 24% dans l'étude de Fritz et 2.2% dans celle de Landis. Pour ce qui est des effets négatifs durables d'une nature plus générale, dans l'étude de Hrabrowy 20% des sujets ressentaient encore une certaine gêne à ce propos et 5% une gêne très importante. Dans l'étude de Landis, 3% des sujets disaient ne pas s'en être encore remis. Dans l'étude de Nash et West 22% disaient ressentir encore des effets négatifs. Les données montrent que cette expérience a causé des dommages sérieux chez certains sujets. Mais il s'agit d'une minorité. Ces données indiquent que l'ASE peut être potentiellement dommageable mais que l'ASE n'entraîne pas inévitablement des dommages. Nos analyses suggèrent que c'est le contexte (usage de la force, manque de consentement du ou de la jeune partenaire, relation incestueuse) qui se combine avec l'ASE pour donner un résultat dommageable.

TABLEAU 10 

Effets rapportés par des étudiants confrontés à une ASE

Étude

Sexe

N

Champs de l’étude

Conséquence de l’ASE

Condy et al (1987)

m

51

Effets sur la vie sexuelle adulte

bon : 37% - aucun : 28%

mitigé : 9% - mauvais : 16%

Fischer

(1991)

m

24

Stress, à l’époque ou maintenant

aucun stress : 21%

stress moyen : 2,12 sur une échelle de 1 à 10.

Fritz et al (1981)

m

20

Vie sexuelle courante

problèmes : 10%

Fishman

(1991)

m

30

Vie, en général

positif : 17% ; neutre : 57% ; négatif : 27%

     

Vie sexuelle courante

positif : 24% ; neutre : 63% ; négatif : 13%

Landis

(1956)

m

215

Temps nécessaire pour se stabiliser

pas de choc : 68% ; peu ou pas de choc : 10%

qq jours à qq années : 22% ; jamais remis : 0%

     

Développement émotionnel affecté

aucun : 81% ; temporaire : 19% ; jamais remis : 0%

     

Influence sur le comportement sexuel

aucun : 80% ; temporaire : 19% ;

permanent : 0,4%

West & Wood-house (1993)

m

67

Effets durables

" seulement un ou deux " parmi les 67 sujets présentent un effet de nature sexuelle durable

         

Fischer

(1991)

f

54

Stress, à l’époque ou maintenant

aucun stress : 7%

stress moyen : 3,00 sur une échelle de 1 à 10.

Fritz et al (1981)

f

42

Vie sexuelle courante

problèmes : 24%

Hrabowy (1987)

f

107

Problèmes actuels

pas de problèmes, ou minimes : 75%

modérés : 20% ; problèmes importants : 5%

Landis

(1956)

f

5311

Développement émotionnel affecté

aucun : 66% ; temporaire : 30% ; permanent : 3%

     

Influence sur le comportement sexuel

aucun : 70% ; temporaire : 26% ;

permanent : 2,2%

Nash & West (1985)

f

50

Combien durent les conséquences

néant / des semaines : 52% ; des mois : 16% ; plus d’un an : 10% ; durent encore maintenant : 22%

 

Vorige Start Omhoog Volgende